contenu de l'article
Petit et joli, tout le monde sera arrivé à observer un merle sautant dans la neige ou écoutant sa chanson mélodieuse.
Entre mythes et légendes, ce ravissant petit oiseau annonce l’arrivée de l’hiver et est le symbole de l’espoir, de l’optimisme et de la vie qui parvient à résister aux difficultés.
Découvrons-le de plus près, connaissant ses caractéristiques, ses habitudes et ses comportements.
Contenu
- 1 Robin, caractéristiques
- 2 Robin, répandre
- 3 Robin, habitat
- 4 Robin, femme
- 5 Robin, accouplement
- 6 Robin, nid
- sept Robin, alimentation
- 8 Robin, personnage
- 9 Robin, migration
- dix Robin, légende
- 11 Robin, symbolisme
- 12 Robin, dessin
- 13 Robin, je chante
- 14 Autre
Robin, caractéristiques
Le merle est un petit oiseau chanteur passereau sympathique.
Classé par Linnaeus avec le nom Erithacus rubecul, appartient à la famille des Muscicapidae et est répandu en Europe. Il vit principalement dans les bois de conifères, mais il peut également être rencontré fréquemment dans d’autres habitats, y compris les milieux urbains.
Ses plumes sont brunes, à l’exception de la zone du ventre qui est blanche. La couleur rouge-orange caractéristique, à laquelle le nom se réfère, est particulière aux spécimens adultes qui le portent sur la poitrine et le front. Les jeunes, par contre, n’en ont pas.
Il est petit, avec une poitrine pleine et une petite tête. Il peut atteindre 14 cm de longueur et une envergure d’environ 20 cm. En poids, il atteint un maximum de 20 grammes.
Il vit en moyenne 3-4 ans et, malgré sa petite taille et son apparence gracieuse, a un caractère plutôt audacieux et impétueux, dans certaines situations, il peut devenir particulièrement agressif, combatif et territorial.
Le merle est un oiseau qui vole bas et parcourt de courtes distances avec sa queue relevée. Au sol, il se déplace en sautillant et en déplaçant ses ailes et sa queue. Il approche souvent l’homme sans crainte.
Robin, répandre
C’est une espèce répandue dans toute l’Europe jusqu’au cercle polaire arctique et de l’Atlantique aux montagnes de l’Oural. En Asie Mineure, on trouve des sous-espèces des Canaries et d’Iran. Il favorise les zones boisées qui ne sont pas trop denses, fraîches, humides et ombragées, caractérisées par des spécimens de hauteur moyenne à élevée et des portions de terres non couvertes.
Évitez les environnements secs et escarpés, les marécages à végétation basse et les espaces trop ouverts.
Plus fréquent dans les bois de feuillus, on le trouve également dans les parcs et jardins. Il est cependant doté d’une bonne capacité d’adaptation et, en cas de besoin, il s’adapte pour utiliser presque tous les types de bois.
Robin, habitat
Son habitat naturel est donné par forêts de conifères, mais parvient également à s’adapter aux zones urbaines et artificielles, telles que les haies, les parcs, les jardins et les bosquets. Cela se produit surtout en hiver, en raison de la nécessité de trouver de la nourriture.
Robin, femme
Les femelles sont légèrement plus petites que les mâles, mais pas de beaucoup. La différence la plus évidente réside dans la couleur du plumage: le mâle est plus foncé avec la poitrine d’une couleur rouge vif évidente et une tache blanche au-dessus du bec; les femelles, par contre, sont brunes, avec la poitrine plus tendant vers un rouge orangé rouillé et le dessous blanc.
Une autre divergence entre le mâle et la femelle peut être observée dans leur comportement différent vis-à-vis du nid. C’est la femelle qui le construit avec de la mousse, des toiles d’araignée et des fibres animales, tandis que le mâle empêche les autres oiseaux de s’approcher de la zone.
Une fois les œufs pondus, ce sont les femelles qui s’assoient pour les faire éclore tandis que les mâles fournissent de la nourriture à la compagne afin qu’elle puisse toujours garder les œufs au chaud et en sécurité.
Robin, accouplement
Le merle a tendance à former une paire stable. Voyons comment se déroule le rituel d’accouplement. Au printemps, une femelle entre sur le territoire d’un mâle qui – en raison de sa nature fortement territoriale – s’approche de l’intrus de manière menaçante en levant la tête et la queue et en gonflant sa poitrine. Au début, la femelle reste aussi un peu seule, gardant ses distances et flottant autour du mâle. Petit à petit, les deux s’habituent à la présence de l’autre et le mâle commence à offrir de la nourriture au nouveau partenaire. C’est ainsi que la relation se consolide.
Robin, nid
La nidification a lieu à différents moments de l’année et pour l’occasion le merle construit des nids parfaits, de forme ronde, comme une petite tasse ronde faite de tiges entrelacées, bourrées de feuilles, de petites racines, de mousse ou de cheveux.
Le nid est construit entre les fissures des troncs d’arbres, au pied des haies, dans une petite cavité près du sol, bien cachée parmi les feuilles de lierre et même à l’intérieur d’objets qui ont été abandonnés et abandonnés par l’homme (tuyaux, bottes, boîtes …)
Il pond des œufs (généralement 6) une ou deux fois par an (la première couvée a lieu vers les mois d’avril à mai). Lorsque la femelle pond la deuxième couvée, le mâle s’occupe de nourrir les petits déjà nés. Deux semaines après l’éclosion, les jeunes peuvent prendre leur envol.
Robin, alimentation
Son régime alimentaire est tellement varié qu’il peut être considéré comme presque omnivore. Il se nourrit principalement de petits mollusques, vers de terre, escargots, insectes et larves, mais aime aussi les fruits que la forêt offre: baies, mûres, groseilles, myrtilles, fraises et framboises.
Il capture les insectes principalement au sol mais aussi en vol.
Robin, personnage
Malgré sa petite taille et son apparence gracieuse et délicate, le merle est tout sauf calme et apprivoisé. En effet, il a un caractère agressif et combatif qui devient très évident en cas d’intrusions sur son territoire. En fait, il n’a pas d’habitudes grégaires et est très territorial.
Quiconque ose s’approcher de sa région est mal chassé. Les signes avant-coureurs sont: gonfler et afficher le coffre couleur de feu de manière menaçante, secouer les ailes et la queue, se balancer d’une jambe à l’autre et prononcer un phrasé de leur chant. Ces signaux augmentent en intensité jusqu’à ce que l’intrus part. Le sentiment de territorialité est accentué lorsqu’il partage le territoire avec son partenaire.
Robin, migration
Quant à la migration du merle, il n’est pas possible de faire un seul discours générique. Il est en effet nécessaire de considérer les différentes zones où vit l’oiseau la plupart de l’année.
En Italie, surtout dans les basses terres, on voit le merle surtout en automne et en hiver.
En effet, nos populations de merles sédentaires nichent dans les forêts de feuillus et de conifères de la péninsule italienne, se concentrant au printemps en particulier dans les montagnes et les collines. Avec les premiers automnes froids, ils quittent ces zones pour se déplacer vers les campagnes et les villes, à la recherche d’endroits plus doux et de sources de nourriture plus faciles.
Mais les merles sont également répandus dans d’autres parties du monde, pas seulement en Italie.
Avec l’arrivée de l’hiver, les populations scandinaves, baltes et d’Europe de l’Est se déplacent vers le sud-ouest à la recherche de zones plus douces.
Les merles des îles britanniques, d’Europe centrale et méridionale ne quittent pas leurs régions, tout au plus effectuent-ils des mouvements migratoires à courte distance.
Les principales zones d’hivernage de ces oiseaux sont l’Afrique du Nord occidentale, le bassin du Nil et les zones israélo-palestiniennes. Ici, les merles passent les mois d’hiver mais ne nichent pas. Ils repartent ensuite au début du printemps pour regagner leurs aires de reproduction européennes.
Robin, légende
Il existe diverses légendes liées à la figure du merle.
L’un d’eux, d’origine chrétienne, raconte que ces oiseaux étaient à l’origine complètement gris, jusqu’à ce que l’un d’eux essaie de libérer Jésus crucifié de la couronne d’épines en se tachant de sang. En signe de gratitude, Jésus a décidé de laisser la coloration particulière au petit oiseau, afin que chacun puisse reconnaître sa bonté et sa générosité.
Une autre légende est plutôt associée à Noël. Toujours selon cette légende, les merles étaient tous gris au début. Pendant la nuit, l’un de ces oiseaux a remarqué que le feu qui réchauffait l’écurie de la Sainte Famille à Bethléem était sur le point de s’éteindre, et il a donc commencé à battre des ailes pour raviver le feu. Le lendemain matin, ce petit oiseau a reçu une poitrine rouge en signe de remerciement pour l’amour manifesté envers l’Enfant Jésus.
Robin, symbolisme
Symbole de vie qui résiste à l’hiver. Signe de renaissance et renouveau, le merle apporte avec lui espoir, optimisme et bons vœux pour la nouvelle année.
Les peuples du nord le considèrent comme l’un des symboles de Thor, le dieu du tonnerre, le porteur des nuages, des éclairs et des tempêtes.
Robin, dessin
Au XIXe siècle, alors que les observateurs britanniques commençaient à observer la présence de cet oiseau pendant les mois les plus froids de l’année, des cartes de Noël décorées d’images de merles de style victorien ont commencé à se répandre en Angleterre, qui se sont rapidement répandues dans toute l’Europe.
Plus tard, le merle est également devenu une icône romantique, souvent utilisée pour les illustrations d’amour.
Robin, je chante
Les écrivains, poètes et musiciens ont toujours été inspirés par le chant mélodieux du merle.
Chopin a tenté de l’imiter dans la brillante Grande Polonaise, d’où le surnom du merle appelé «Chopin de l’air». La poète américaine Emily Dickinson, poétesse américaine, a plutôt dédié une de ses lignes les plus connues à ce joli petit oiseau.
Autre
Lisez aussi:
www.tuttogreen.it