Alors que s’ouvriront le 9 décembre les travaux de la convention citoyenne sur la fin de vie, le philosophe François Galichet souligne, dans une tribune au « Monde », que l’aide active à mourir apporte à ceux qui en font le choix de donner un nouveau sens à leur disparition, elle n’est plus une fatalité, mais un acte délibéré.
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